WASHINGTON, DC – Si de nombreux analystes des médias ont correctement identifié les risques posés par les « fake news », ou fausses informations, ils ont négligé l’incidence qu’a ce phénomène sur les journalistes mêmes. Ce terme est devenu un raccourci pratique pour calomnier toute une profession et les autocrates s’en sont emparés pour justifier la censure et incarcérer des journalistes, souvent sur la base d’accusations de terrorisme fabriquées de toutes pièces.
WASHINGTON, DC – Si de nombreux analystes des médias ont correctement identifié les risques posés par les « fake news », ou fausses informations, ils ont négligé l’incidence qu’a ce phénomène sur les journalistes mêmes. Ce terme est devenu un raccourci pratique pour calomnier toute une profession et les autocrates s’en sont emparés pour justifier la censure et incarcérer des journalistes, souvent sur la base d’accusations de terrorisme fabriquées de toutes pièces.