NEW YORK – Lors de ma première rencontre, en 2014, avec Chiedza Makonnen, une conceptrice de mode sise à Accra, ses ventes hors Ghana étaient minimes. Or aujourd’hui, la marque de Makonnen, Afrodesiac Worldwide, fait un tabac sur le tapis rouge d’Hollywood et la scène de l’Essence Festival à La Nouvelle-Orléans. Depuis que Makonnen a réussi à déchiffrer le « code de l’exportation », son entreprise a augmenté sa capacité de production, triplé ses effectifs et a largement accru son profil médiatique.
NEW YORK – Lors de ma première rencontre, en 2014, avec Chiedza Makonnen, une conceptrice de mode sise à Accra, ses ventes hors Ghana étaient minimes. Or aujourd’hui, la marque de Makonnen, Afrodesiac Worldwide, fait un tabac sur le tapis rouge d’Hollywood et la scène de l’Essence Festival à La Nouvelle-Orléans. Depuis que Makonnen a réussi à déchiffrer le « code de l’exportation », son entreprise a augmenté sa capacité de production, triplé ses effectifs et a largement accru son profil médiatique.