BUENOS AIRES – L’élection présidentielle colombienne qui doit se clore fin mai est, de nombreux points de vue, une élection atypique. En dépit de pressions considérables, la Cour constitutionnelle a contrecarré en mars l’intention d’Alvaro Uribe de se présenter une troisième fois consécutive et maintenu la limitation à deux mandats constitutionnels. L’absence d’Uribe conduit à un déblocage de l’élection qui fait sensation.
BUENOS AIRES – L’élection présidentielle colombienne qui doit se clore fin mai est, de nombreux points de vue, une élection atypique. En dépit de pressions considérables, la Cour constitutionnelle a contrecarré en mars l’intention d’Alvaro Uribe de se présenter une troisième fois consécutive et maintenu la limitation à deux mandats constitutionnels. L’absence d’Uribe conduit à un déblocage de l’élection qui fait sensation.