NEW YORK – Au cours d'une seule semaine au mois de mai, Jill Abramson, la première femme à occuper le poste de directrice de la rédaction du New York Times, a été contrainte de démissionner, tandis qu'à Paris Natalie Nougayrède a démissionné de son poste de directrice de rédaction du Monde, le journal de référence français, en déclarant dans une lettre ouverte qu'on l'empêchait de mener à bien sa mission. Comment interpréter ces révocations de femmes qui occupaient des postes de haute responsabilité ?
NEW YORK – Au cours d'une seule semaine au mois de mai, Jill Abramson, la première femme à occuper le poste de directrice de la rédaction du New York Times, a été contrainte de démissionner, tandis qu'à Paris Natalie Nougayrède a démissionné de son poste de directrice de rédaction du Monde, le journal de référence français, en déclarant dans une lettre ouverte qu'on l'empêchait de mener à bien sa mission. Comment interpréter ces révocations de femmes qui occupaient des postes de haute responsabilité ?