PARIS / BÂLE – Certains pays à revenu faible ou intermédiaire (PRFI) sont de retour sur les marchés obligataires après une absence de deux ans. D’autres ont en revanche un besoin urgent de liquidités et sont confrontés à des taux d’intérêt punitifs. Dans cette crise, la proposition du Finance for Development Lab de mettre en place un « financement relais », qui permettrait aux économies en développement de repousser de cinq à dix années les échéances de leur dette et allouerait les ressources nécessaires à l’atténuation des changements climatiques et aux adaptations consécutives, demeure plus que jamais d’actualité.
PARIS / BÂLE – Certains pays à revenu faible ou intermédiaire (PRFI) sont de retour sur les marchés obligataires après une absence de deux ans. D’autres ont en revanche un besoin urgent de liquidités et sont confrontés à des taux d’intérêt punitifs. Dans cette crise, la proposition du Finance for Development Lab de mettre en place un « financement relais », qui permettrait aux économies en développement de repousser de cinq à dix années les échéances de leur dette et allouerait les ressources nécessaires à l’atténuation des changements climatiques et aux adaptations consécutives, demeure plus que jamais d’actualité.