OXFORD – La reconduction de Kristalina Georgieva à la direction générale du Fonds monétaire international est un dénouement heureux, mais elle est aussi le fruit d’un dysfonctionnement majeur dans les structures de gouvernance du FMI. Dans un monde étourdi par la crise de la dette, les conflits armés, les changements climatiques et les effets persistants de la pandémie de Covid-19, on ne saurait surévaluer l’importance du Fonds. Mais pour remplir son rôle, il doit rendre compte à tous les États membres, et par seulement aux pays les plus puissants, qui y disposent actuellement d’une influence disproportionnée.
OXFORD – La reconduction de Kristalina Georgieva à la direction générale du Fonds monétaire international est un dénouement heureux, mais elle est aussi le fruit d’un dysfonctionnement majeur dans les structures de gouvernance du FMI. Dans un monde étourdi par la crise de la dette, les conflits armés, les changements climatiques et les effets persistants de la pandémie de Covid-19, on ne saurait surévaluer l’importance du Fonds. Mais pour remplir son rôle, il doit rendre compte à tous les États membres, et par seulement aux pays les plus puissants, qui y disposent actuellement d’une influence disproportionnée.