WASHINGTON – Nous vivons désormais dans le monde d’après le virus. Pour les États-Unis, le passage d’un monde à l’autre s’est fait tout d’un coup, voici moins d’un mois. Le monde que nous connaissions avant l’arrivée du Covid-19 s’en est allé. Il ne reviendra jamais.
Une fois qu’on s’est fait à cette réalité, beaucoup de choses deviennent plus claires, notamment pour ce qui concerne la façon de résister à cet assaut, la façon de se fortifier contre les jours encore plus sombres qui attendent encore, la façon de rouvrir l’économie, si possible responsable, cette fois. Si nous parvenons à comprendre, nous pouvons rebâtir décemment, avec une plus grande résilience et plus d’équité.
Au début de l’année 2020, nous pensions que la mort de masse ne viendrait plus chercher sur terre son tribut aléatoire. Pendant presque toute l’histoire humaine, la maladie fut une constante menace et lutter contre elle un élément essentiel de la civilisation. Vers le milieu du XIXe siècle, la science a commencé à prendre le dessus dans le combat contre des fléaux comme le choléra.
WASHINGTON – Nous vivons désormais dans le monde d’après le virus. Pour les États-Unis, le passage d’un monde à l’autre s’est fait tout d’un coup, voici moins d’un mois. Le monde que nous connaissions avant l’arrivée du Covid-19 s’en est allé. Il ne reviendra jamais.
Une fois qu’on s’est fait à cette réalité, beaucoup de choses deviennent plus claires, notamment pour ce qui concerne la façon de résister à cet assaut, la façon de se fortifier contre les jours encore plus sombres qui attendent encore, la façon de rouvrir l’économie, si possible responsable, cette fois. Si nous parvenons à comprendre, nous pouvons rebâtir décemment, avec une plus grande résilience et plus d’équité.
Au début de l’année 2020, nous pensions que la mort de masse ne viendrait plus chercher sur terre son tribut aléatoire. Pendant presque toute l’histoire humaine, la maladie fut une constante menace et lutter contre elle un élément essentiel de la civilisation. Vers le milieu du XIXe siècle, la science a commencé à prendre le dessus dans le combat contre des fléaux comme le choléra.