BOGOTA – Il ne fait plus de doute que la triple crise du Covid-19, du changement climatique et du déclin de la biodiversité menace de bouleverser, en nombres incalculables, les vies et les moyens dont disposent les populations pour les gagner. Pourtant, la désinformation, la négligence, ou le déni pur et simple face à chacun de ces problèmes continuent de compromettre la réponse mondiale.
Pour avancer, nous devons nous rassembler et nous assurer que nos décisions seront fondées sur les meilleures données scientifiques disponibles. La science est l’outil le plus puissant dont nous disposons pour affronter ces crises et œuvrer en faveur d’une relance verte et durable.
Toutes les sociétés valorisent évidemment les contributions matérielles de la nature : nourriture, énergie, médicaments, matériaux nécessaires à l’édification et à l’entretien de nos économies. Mais au cours des cinq dernières décennies, l’intérêt exclusif porté à la croissance économique s’est traduit par un usage non durable de la nature et de l’extraction de ses contributions matérielles ; ses contributions immatérielles ainsi que sa fonction régulatrice s’en sont trouvées diminuées, à des niveaux alarmants.
BOGOTA – Il ne fait plus de doute que la triple crise du Covid-19, du changement climatique et du déclin de la biodiversité menace de bouleverser, en nombres incalculables, les vies et les moyens dont disposent les populations pour les gagner. Pourtant, la désinformation, la négligence, ou le déni pur et simple face à chacun de ces problèmes continuent de compromettre la réponse mondiale.
Pour avancer, nous devons nous rassembler et nous assurer que nos décisions seront fondées sur les meilleures données scientifiques disponibles. La science est l’outil le plus puissant dont nous disposons pour affronter ces crises et œuvrer en faveur d’une relance verte et durable.
Toutes les sociétés valorisent évidemment les contributions matérielles de la nature : nourriture, énergie, médicaments, matériaux nécessaires à l’édification et à l’entretien de nos économies. Mais au cours des cinq dernières décennies, l’intérêt exclusif porté à la croissance économique s’est traduit par un usage non durable de la nature et de l’extraction de ses contributions matérielles ; ses contributions immatérielles ainsi que sa fonction régulatrice s’en sont trouvées diminuées, à des niveaux alarmants.