BOSTON – Si le 20 janvier Donald Trump fera ses valises et quittera la Maison Blanche, il n’en aura pas moins présidé à un réveil autoritaire dans de larges segments de la population américaine, qui ne se rendormiront pas de longtemps, même après son départ. Trump a non seulement déployé une rhétorique raciste, sexiste, homophobe, xénophobe et islamophobe, mais il l’a intégrée pour de bon dans sa politique. Et cela n’a pas empêché 74 millions d’Américains de voter pour lui en 2020.
BOSTON – Si le 20 janvier Donald Trump fera ses valises et quittera la Maison Blanche, il n’en aura pas moins présidé à un réveil autoritaire dans de larges segments de la population américaine, qui ne se rendormiront pas de longtemps, même après son départ. Trump a non seulement déployé une rhétorique raciste, sexiste, homophobe, xénophobe et islamophobe, mais il l’a intégrée pour de bon dans sa politique. Et cela n’a pas empêché 74 millions d’Américains de voter pour lui en 2020.