LONDRES - La différence entre les décès, à deux jours d’écart, du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et du prince héritier saoudien Sultan ben Abdel Aziz est d’un côté l’exemple d’une bouffonnerie en phase terminale et de l’autre celui d’une gérontocratie décadente. Leur disparition aura sans doute des conséquences très différentes pour les deux peuples : la libération pour les Libyens et la stagnation pour les Saoudiens.
LONDRES - La différence entre les décès, à deux jours d’écart, du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et du prince héritier saoudien Sultan ben Abdel Aziz est d’un côté l’exemple d’une bouffonnerie en phase terminale et de l’autre celui d’une gérontocratie décadente. Leur disparition aura sans doute des conséquences très différentes pour les deux peuples : la libération pour les Libyens et la stagnation pour les Saoudiens.