Though the US Federal Reserve’s first interest-rate hike of 2023 is smaller than those that preceded it, policymakers have signaled that more increases are on the way, despite slowing price growth. But there is good reason to doubt the utility – and fear the consequences – of continued rate hikes, on both sides of the Atlantic.
CHENGDU – Depuis l’invasion de la Crimée par la Russie l’été dernier, l’Occident s’est fixé une stratégie de sanctions économiques et d’isolement international pour forcer le Kremlin à retirer son appui aux séparatistes de l’est de l’Ukraine. Mais la série récente de gains diplomatiques du président de la Russie, de Vladimir Poutine – en particulier, avec l’Iran, la Corée du Nord et le Pakistan – a presque annihilé la portée de cette stratégie.
Il va sans dire que Poutine a reçu un traitement glacial au sommet du G20 du mois dernier à Brisbane, où les hôtes australiens et les dirigeants occidentaux lui ont fait toutes les remontrances d’usage lors des réunions bilatérales pour avoir enfreint la souveraineté de l’Ukraine et ainsi creusé un fossé avec ses partenaires économiques occidentaux. Poutine est parti plus tôt, annonçant à tout venant que les sanctions occidentales portaient de toute manière plus préjudice aux économies européennes qu’à celle de la Russie.
Cela n’a toutefois pas empêché Poutine de lancer de grandes initiatives en matière de sécurité d’intérêt vital à certains pays de l’Ouest, redorant ainsi l’ascendant diplomatique de la Russie et rehaussant sa valeur aux yeux de son partenaire le plus important, quoique discret : la Chine. Comme Poutine l’a déclaré dans une entrevue récente, son gouvernement est déterminé à ce que la Russie ne se retrouve pas isolée du reste du monde derrière un nouveau rideau de fer.
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