LONDRES – « Ce que ça va coûter, je m'en moque. Nous avons repris notre pays ! » C'est le message proféré fièrement dans toute l'Angleterre depuis le référendum Brexit en juin dernier. Et c'est une exigence qui trouve son écho à travers le continent tout entier. Jusqu'à récemment, on envisageait avec sympathie toute proposition visant à « sauver » l'Europe, avec toutefois un certain scepticisme quant à la faisabilité de cette entreprise. À présent, le scepticisme porte sur la question de savoir si l'Europe vaut la peine d'être sauvée.
LONDRES – « Ce que ça va coûter, je m'en moque. Nous avons repris notre pays ! » C'est le message proféré fièrement dans toute l'Angleterre depuis le référendum Brexit en juin dernier. Et c'est une exigence qui trouve son écho à travers le continent tout entier. Jusqu'à récemment, on envisageait avec sympathie toute proposition visant à « sauver » l'Europe, avec toutefois un certain scepticisme quant à la faisabilité de cette entreprise. À présent, le scepticisme porte sur la question de savoir si l'Europe vaut la peine d'être sauvée.