ISLAMABAD – Un débat économique de longue date — aussi présent dans la communauté élargie des sciences sociales — gravite autour des méthodes optimales de distribution de l’aide internationale aux pays en développement. Faut-il que les autorités de ces pays misent sur le savoir téléporté des capitales des donateurs ? Devraient-ils plutôt viser le financement de solutions à des problèmes de terrain dictés par les pays assistés ?
ISLAMABAD – Un débat économique de longue date — aussi présent dans la communauté élargie des sciences sociales — gravite autour des méthodes optimales de distribution de l’aide internationale aux pays en développement. Faut-il que les autorités de ces pays misent sur le savoir téléporté des capitales des donateurs ? Devraient-ils plutôt viser le financement de solutions à des problèmes de terrain dictés par les pays assistés ?