GENÈVE – Le spectre politique de l’Asie couvre le despotisme brutal de la Corée du Nord à la monarchie constitutionnelle éclairée du Bhutan (si éclairée en fait qu’elle a créé un indice du bonheur national brut en tant que mesure alternative au produit national brut), en passant par une palette étendue de nuances politiques entre les deux extrêmes. Pourtant, le préjugé tenace voulant que l’Asie ne soit pas faite pour la démocratie à l‘Occidentale ressort encore du lot. Les sceptiques ont-ils raison de l’être ?
GENÈVE – Le spectre politique de l’Asie couvre le despotisme brutal de la Corée du Nord à la monarchie constitutionnelle éclairée du Bhutan (si éclairée en fait qu’elle a créé un indice du bonheur national brut en tant que mesure alternative au produit national brut), en passant par une palette étendue de nuances politiques entre les deux extrêmes. Pourtant, le préjugé tenace voulant que l’Asie ne soit pas faite pour la démocratie à l‘Occidentale ressort encore du lot. Les sceptiques ont-ils raison de l’être ?