LONDRES – La sociologie, l'anthropologie et l'histoire ont apporté d'importantes avancées au débat sur l'immigration. Il semble que l'homo economicus, qui vit seulement de pain, a cédé la place à un individu pour qui le sentiment d'appartenance est au moins aussi important que celui de se nourrir.
LONDRES – La sociologie, l'anthropologie et l'histoire ont apporté d'importantes avancées au débat sur l'immigration. Il semble que l'homo economicus, qui vit seulement de pain, a cédé la place à un individu pour qui le sentiment d'appartenance est au moins aussi important que celui de se nourrir.