PARIS – Les journaux foisonnant de témoignages sur les difficultés auxquelles sont confrontées les familles migrantes, il est possible de présumer que la priorité est mise sur les causes du déracinement des populations. Or, dans la plupart des cas, une telle hypothèse serait erronée. Aujourd’hui, les solutions aux migrations forcées visent presque exclusivement à aider les réfugiés après leur exode, au lieu de cibler les raisons de leur départ forcé. Pour résoudre les crises des réfugiés dans le monde, il faut porter autant attention aux causes qu’aux effets.
PARIS – Les journaux foisonnant de témoignages sur les difficultés auxquelles sont confrontées les familles migrantes, il est possible de présumer que la priorité est mise sur les causes du déracinement des populations. Or, dans la plupart des cas, une telle hypothèse serait erronée. Aujourd’hui, les solutions aux migrations forcées visent presque exclusivement à aider les réfugiés après leur exode, au lieu de cibler les raisons de leur départ forcé. Pour résoudre les crises des réfugiés dans le monde, il faut porter autant attention aux causes qu’aux effets.