CAMBRIDGE – À l’instar des vaccins contre le COVID-19, la reprise économique ne sera pas répartie de manière égale à travers le monde au cours des deux prochaines années. Malgré le soutien politique considérable fourni par les gouvernements et les banques centrales, les risques économiques demeurent profonds, et pas seulement pour les économies émergentes exposées à des difficultés imminentes de dette, ni seulement pour les pays à revenu faible confrontés à une aggravation dramatique de la pauvreté. La victoire sur le coronavirus étant encore très lointaine, et à l’heure d’un populisme puissant, d’une dette mondiale record, ainsi que d’une normalisation des politiques qui s’annonce inégale, la situation demeure précaire.
CAMBRIDGE – À l’instar des vaccins contre le COVID-19, la reprise économique ne sera pas répartie de manière égale à travers le monde au cours des deux prochaines années. Malgré le soutien politique considérable fourni par les gouvernements et les banques centrales, les risques économiques demeurent profonds, et pas seulement pour les économies émergentes exposées à des difficultés imminentes de dette, ni seulement pour les pays à revenu faible confrontés à une aggravation dramatique de la pauvreté. La victoire sur le coronavirus étant encore très lointaine, et à l’heure d’un populisme puissant, d’une dette mondiale record, ainsi que d’une normalisation des politiques qui s’annonce inégale, la situation demeure précaire.