ABOU DHABI – Il y a six mois, lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Dubaï (COP28), le monde est parvenu à transcender les divisions géopolitiques – une prouesse que peu estimaient possible – et à s’unir derrière un plan réaliste, connu sous le nom de Consensus des ÉAU, afin de promouvoir une prospérité durable et de faire face à la menace du changement climatique. Près de 200 gouvernements, ainsi que tous les secteurs de l’économie mondiale, se sont rassemblés autour d’une approche concrète et fondée sur la science, pour atteindre une croissance économique faiblement émettrice de carbone tout en maintenant accessible l’objectif de 1,5°C.
ABOU DHABI – Il y a six mois, lors de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques à Dubaï (COP28), le monde est parvenu à transcender les divisions géopolitiques – une prouesse que peu estimaient possible – et à s’unir derrière un plan réaliste, connu sous le nom de Consensus des ÉAU, afin de promouvoir une prospérité durable et de faire face à la menace du changement climatique. Près de 200 gouvernements, ainsi que tous les secteurs de l’économie mondiale, se sont rassemblés autour d’une approche concrète et fondée sur la science, pour atteindre une croissance économique faiblement émettrice de carbone tout en maintenant accessible l’objectif de 1,5°C.