CAMBRIDGE – L’hiver des cryptomonnaies ayant cédé la place au redoux, et les institutions financières faisant actuellement preuve d’un intérêt renouvelé pour les actifs numériques, un vieux débat resurgit autour de la question de savoir si la blockchain constitue réellement une « machine à confiance », pour reprendre l’expression employée par The Economist en 2015.
CAMBRIDGE – L’hiver des cryptomonnaies ayant cédé la place au redoux, et les institutions financières faisant actuellement preuve d’un intérêt renouvelé pour les actifs numériques, un vieux débat resurgit autour de la question de savoir si la blockchain constitue réellement une « machine à confiance », pour reprendre l’expression employée par The Economist en 2015.