NEW YORK – Ces dernières années, en particulier au cours de la pandémie de COVID-19, les attaques contre la science et les scientifiques se sont intensifiées de manière alarmante. Les responsables du secteur de la santé et la communauté scientifique dans son ensemble ont imploré les décideurs et l'opinion publique de « suivre l'actualité scientifique ». Pourtant les mots d'ordre de ce type tombent à plat pour ceux qui ont quelques réticences à l'égard de l'autorité scientifique, notamment pour cette raison que les partisans de la science utilisent le même terme générique que ceux qui l'attaquent.
Quand nous résumons toute la science sous un seul terme, nous l'assimilons implicitement à la vérité. En fait, de nombreux domaines scientifiques sont encore en cours de révision constante. L'importance de cette distinction est devenue claire comme de l'eau de roche au début de la pandémie, lorsque les autorités sanitaires ont été chargées de fournir des conseils au public avant que tous les détails sur le virus ne soient connus.
La science est en permanence sous le feu des attaques. De la démonstration de Galilée selon laquelle la Terre n'est pas au centre de l'univers, à l'argument de Darwin selon lequel les êtres humains sont issus de primates, les scientifiques ont longtemps été considérés comme une menace pour l'autorité religieuse et contre ses propres prétentions à la vraie connaissance.
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The Russian state’s ideological madness and reversion to warlordism have been abetted by a religious fundamentalism that openly celebrates death in the name of achieving a god-like status. As Vladimir Putin’s propagandists are telling Russians, “Life is overrated.”
traces the religious and intellectual roots of the Kremlin’s increasingly morbid war propaganda.
It is hard to reconcile the jubilant mood of many business leaders with the uncertainty caused by the war in Ukraine. While there are some positive signs of economic recovery, a sudden escalation could severely destabilize the global economy, cause a stock market crash, and accelerate deglobalization.
warns that the Ukraine war and economic fragmentation are still jeopardizing world growth prospects.
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NEW YORK – Ces dernières années, en particulier au cours de la pandémie de COVID-19, les attaques contre la science et les scientifiques se sont intensifiées de manière alarmante. Les responsables du secteur de la santé et la communauté scientifique dans son ensemble ont imploré les décideurs et l'opinion publique de « suivre l'actualité scientifique ». Pourtant les mots d'ordre de ce type tombent à plat pour ceux qui ont quelques réticences à l'égard de l'autorité scientifique, notamment pour cette raison que les partisans de la science utilisent le même terme générique que ceux qui l'attaquent.
Quand nous résumons toute la science sous un seul terme, nous l'assimilons implicitement à la vérité. En fait, de nombreux domaines scientifiques sont encore en cours de révision constante. L'importance de cette distinction est devenue claire comme de l'eau de roche au début de la pandémie, lorsque les autorités sanitaires ont été chargées de fournir des conseils au public avant que tous les détails sur le virus ne soient connus.
La science est en permanence sous le feu des attaques. De la démonstration de Galilée selon laquelle la Terre n'est pas au centre de l'univers, à l'argument de Darwin selon lequel les êtres humains sont issus de primates, les scientifiques ont longtemps été considérés comme une menace pour l'autorité religieuse et contre ses propres prétentions à la vraie connaissance.
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